Au nom de la nécessaire émancipation de la femme et de la juste lutte contre l’oppression, le féminisme en est parfois venu à nier la différenciation des sexes et à diaboliser l’homme perçu comme inutile.
Jean Gabard défend l’égalité en dignité et en droits, et donc le féminisme, tout en évitant d’en faire une religion. Il s’attaque aux dérives féministes et invite les hommes et les femmes à ne pas s’enliser dans un manichéisme stérile.